En passant

Des Blue Mountains à Port Macquarie

Après cette étape urbaine à Sydney, on s’échappe quelques jours dans les Blue Mountains, qui doivent leur nom à la couleur bleue produite par l’huile dégagée dans l’air par les eucalyptus de la région.

Blue Mountains

On fait escale à Katoomba pour randonner jusqu’aux Three sisters, une formation de 3 rochers qui surplombent la vallée. L’occasion de faire de nouvelles rencontres avec la faune locale, des oiseaux et perruches et même un « petit » serpent venimeux.

Et pour se remettre de nos émotions, rien de tel qu’un pavé de saumon au barbecue accompagné d’une salade grecque, dont les Aussies raffolent.

Hunter Valley

Passage obligé pour nous dans la Hunter Valley pour perfectionner nos connaissances œnologiques. Les crus locaux sont issus principalement du cépage Syrah que rien n’accompagne mieux qu’un bon plateau de fromages fermiers. Comme un retour en France, tellement agréable après 5 mois !

Port Macquarie

En continuant notre route vers le Nord, nous arrivons à Port Macquarie qui est une étape importante de notre voyage. C’est un hôpital exclusivement réservé aux koalas, blessés par l’homme en majorité ou malades. Recueillis, soignés et chouchoutés, ils sont réintégrés à leur milieu naturel petit à petit.

Pour son financement, l’hôpital fait appel à la générosité des visiteurs. C’est dans ce cadre là, qu’en juin dernier sur internet, nous avions adopté Lighthouse Eden, un bébé koala qui avait perdu sa maman dans une bagarre avec des chiens. Entre-temps, il a bien grandi, a été relâché et est probablement devenu un mâle alpha (dominant). Nous n’avons donc pas pu le rencontrer ce jour-là à l’hôpital mais peut-être était-ce un de ceux que nous avons vus dans la nature !?

Si vous aussi, vous souhaitez adopter un koala, c’est par ici : http://www.koalahospital.org.au/

Quelques clichés des paysages de la ville

Un autre établissement de la ville, le Billabong koala & Wildlife park, accueille des animaux sauvages élevés en captivité, notamment des koalas et des kangourous. On aime ou on n’aime pas le principe. En tout cas, pour nous c’était l’occasion de les approcher plus facilement que lors de nos précédentes rencontres dans la nature. On ne se lasse pas de les observer et on peut même donner à manger aux roos. Très attachants et rigolos, ils s’accrochent à nos mains !

A bientôt !

Marjorie & Sylvain

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